Enquête sur la grippe A (H1N1)
Ce questionnaire a pour objectif
principal de mieux comprendre les comportements de protection contre
la grippe A. Cette recherche publique est conduite dans 4 pays :
France, Angleterre, Etats-Unis et Canada. Cette recherche est
coordonnée par l'unité 912 de l'INSERM (Institut National de la
Santé et de la Recherche Médicale). Vous devez avoir au moins 18
ans pour répondre à ce questionnaire.
Le questionnaire
comporte deux parties. La première partie dure environ 10 minutes.
Elle aborde vos perceptions aujourd'hui vis-à-vis de la grippe A
(H1N1). La deuxième partie dure environ 15 minutes et prend en
compte vos réponses à la première partie. Son objectif est de
mieux comprendre les intentions de vaccination contre la grippe A
dans différents scénarios d'épidémie.
Grippe A : le mea culpa du professeur Flahault
Complément d'info - France Info - 1 mai 2010
Épidémiologiste et directeur de l’École des hautes études en santé publique de Rennes, le professeur Antoine Flahault revient sur le virus H1N1 un an après son apparition. Il avait émis l’hypothèse de 30.000 décès en France. "L’expert peut se tromper" rappelle-t-il.
À chaque épidémie, on l’entend dans les médias prodiguer avec clarté ses conseils. Le professeur Antoine Flahault est épidémiologiste, c’est-à-dire spécialiste des maladies à l’échelle des populations. Il y a un an, lorsque l’épidémie de grippe A apparaît, ce médecin s’exprime comme d’autres spécialistes. Il émet notamment l’hypothèse de 30 000 décès en France. À ce jour, le virus H1N1 a fait moins de 300 victimes.
Un an après, Antoine Flahault précise les circonstances dans lesquelles il a avancé ces chiffres. "On ne prétend pas qu’on va prédire l’avenir. Je préfère m’être trompé dans ce sens-là".
Sanofi-aventis investit 100 millions € pour construire une usine de vaccin grippal saisonnier et pandémique au Mexique
Lors de la visite de Nicolas Sarkozy au Mexique, le 9 mars 2009, Sanofi-Aventis a investi 100 millions d’euros pour construire une usine de vaccin grippal - Communiqué de presse
Alertes grippales
Emission de Daniel Mermet - Là bas si j'y suis - 23 novembre 2009 - France Inter
Rencontre avec Marc Girard, médecin,
spécialiste en pharmaco-épidémiologie.
Le Docteur Marc
Girard a fait toute sa carrière dans l’industrie pharmaceutique.
D’abord, comme salarié du groupe Synthélabo - rapidement licencié
pour avoir démontré la nocivité d’un antiépiléptique. Puis il
est devenu consultants pour les labos, et enfin expert judiciaire -
où il s’est heurté à la puissance de cette industrie.
Grippe A H1N1: une expertise grippée
« La révélation des liens étroits entre le Professeur Bruno Lina, le Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe (GEIG), le Comité de lutte contre la grippe et l’industrie pharmaceutique est une illustration supplémentaire de la nécessité d’assainir la situation de l’expertise en France. »
Qu’un groupe financé à 100 % par
les producteurs de vaccins serve de conseiller à la Ministre de la
Santé est une incongruité qui devrait cesser, voire même être
sanctionnée.
La stratégie du Ministère repose depuis le début
sur l’hypothèse d’une épidémie touchant 30 % de la population
et responsable de 0,4 % de décès (soit 250 000 morts). Il est
stupéfiant que ce scénario puisse constituer encore aujourd’hui
le scénario de référence alors même que le bilan de la grippe A
dans l’hémisphère Sud montre que son impact est de loin inférieur
à celui de la grippe saisonnière.
On comprend que l’industrie
pharmaceutique ait intérêt à maintenir cette fiction pour
justifier la diffusion de millions de doses mais pourquoi l’expertise
publique est-elle muette sur le sujet ? Pourquoi aucun scénario
autre que celui de la vaccination massive n’a été pris en
considération ?
Il semble de plus en plus évident pourtant qu’un
autre scénario plus protecteur et plus économe de l’argent public
s’impose : celui ciblé sur la protection des groupes à risque et
le renforcement des mesures d’hygiène.
Ces faits illustrent
l’importance de l’indépendance et de la transparence dans
l’expertise pour qu’elle soit fiable et reconnue par les
populations.
Lire la suite de l'article
Des associations de patients sont aussi sponsorisées
Médecin généraliste à Paris, le docteur Dominique Dupagne a fait de la collusion entre les médecins et les laboratoires son cheval de bataille. Il y consacre même un blog, www.atoute.org. « Je ne connais pas particulièrement le Geig, mais ce genre de groupement d'experts financés par des laboratoires est un classique, affirme le praticien. Dans le domaine de l'ostéoporose, il y a par exemple le Grio, Groupe de recherche et d'informations sur les ostéoporoses. » Les associations de patients sont aussi dans la ligne de mire du docteur Dupagne. Beaucoup de grandes associations sont sponsorisées par les labos.
Grippe A H1N1 - Désinformation, manipulations, mensonges et propagande : trop c'est trop !!!
Depuis cette semaine (13 novembre 2009), j'ai de quoi m'arracher mille fois les cheveux
en écoutant France Inter.
On atteint le sommet de la connerie....
c'est pas nouveau dans certains médias, mais bon y a un moment, on
explose !!! Tout est fait pour convaincre les gens à se faire vacciner
et tous les moyens habituels sont bons pour y arriver : la peur, la
culpabilisation, la mauvaise foi, le déni et surtout l'absence flagrante
de faits scientifiques.
Alors voilà, en gros, ce que j'ai entendu :
Grâce aux vaccins, il n'y a plus d'épidémies : c'est faux !
N'importe
quelle personne dotée d'un peu de bon sens peut comprendre que c'est
grâce à l'amélioration de la qualité de vie (meilleure alimentation, eau
potable, élimination des eaux usées, etc...) qu'il n'y a plus
d'épidémies. Il n'y a plus d'épidémies de peste en France et pourtant il
n'existe pas de vaccin contre la peste. On comprend aussi pourquoi les
épidémies persistent dans les pays du sud.
Voir le document : Vaccins_taux_mortalite
Juste un point sur l'alimentation :
La malnutrition joue un rôle
fondamental sur l'immunité. Un apport insuffisant de protéines ne permet
pas à l'organisme humain de synthétiser les éléments nécessaires au
système immunitaire pour remplir correctement son rôle. En effet, les
anticorps et les médiateurs de l'immunité (interférons, interleukines)
sont des protéines. Sans compter, la carence en vitamines et en
oligo-éléments qui a aussi un impact sur le système immunitaire.
Les
pays du sud ont une alimentation quantitativement insuffisante et dans
les pays "développés", c'est la qualité qui fait défaut. Il suffit de
voir ce que les gens ont dans les caddies des supermarchés pour
comprendre qu'il ne pourront que développer des maladies. Faites un
plein d'essence avec une voiture diesel... vous n'irez pas loin !!!
Hippocrate disait : "Que ton aliment soit ton meilleur médicament". Il
avait les pieds sur terre le gars...
Voir les documents : Immunite_malnutrition_1996 - Lettre_Helene_Cardin
La variole a été éradiqué grâce à la vaccination : encore faux !
Pour s'en convaincre, il suffit de consulter le rapport final de la commission mondiale pour la certification de l'éradication de la variole de l'OMS de 1980.
Voir le document : Variole_eradication
Que dire de l'intervention des "experts" et de leurs conflits d'interets ???
Pour se faire un avis, on peut consulter la rubrique conflits d'intérêts.
Que dire du traitement de l'information concernant la grippe par certains "journalistes" ???
Il y avait un article très intéressant à ce sujet dans 20 minutes le 10 février 2006 page 36 : Pouvoir et télévision sont dans la séduction mutuelle. Voici quelques extraits :
La censure n'a pas disparu, elle est différente.
La retenue dans les questions des journalistes demeure.
Au nom de la concurrence, on privilégie l'audience en invitant uniquement les « bons clients » et en les « forçant » à parler au plus grand nombre.
Le discours politique s'appauvrit et les dossiers importants sont négligés.
On est loin du code de déontologie des journalistes. Voir le document : Deontologie_journalistes
De plus, je ne peux que vous recommender de lire l'excellent livre : Propaganda - Comment manipuler l'opinion en démocratie, en lecture gratuite sur le site de Zones et d'écouter l'émission de Daniel Mermet consacrée à ce livre sur son site de La-bas si j'y suis.
Enfin, il y a aussi un article sur le site de l'observatoire des médias, l'Acrimed - Grippe A : un expert mis en cause ? France Inter prévient la contagion de l’information.
Je ne vous parlerais pas des louanges faites à Pasteur, j'y reviendrais une autre fois.
Voilà les émissions à écouter :
Le téléphone sonne - 12 novembre 2009 - Questions sur la vaccination contre la grippe H1N1 qui commence aujourd'hui pour le public...
Le sept-dix - 12 novembre 2009 - Début de la campagne de vaccination contre la grippe A
La marche des sciences - 12 novembre 2009 - La vaccination au fil du temps
Sur les docks - 10 novembre 2009 - L'homme et l'animal (1/4) - La barrière des espèces ? Une idée ? Une éclipse ?
Médias et grippe A : un peu de rien dans pas grand chose...
Comment le sujet est traité dans le journal de TF1 du 25 avril au 3 mai - Voir la vidéo
Et surtout comment le député et animateur canadien André Arthur dénonce la manipulation médiatique et politique - 14 juin 2009 - Voir la vidéo
L'OMS : bateau ivre de la santé publique - Les dérives et les échecs de l'agence des Nations Unies
Bertrand Deveaud - Bertrand Lemennicier
Faut-il supprimer l'Organisation Mondiale de la Santé ?
Le monde médical, mais aussi l'ensemble de communauté internationale ayant un rapport direct ou indirect avec la santé publique, ont appris ce qu'ils soupçonnait déjà : l'OMS n'est plus que le bateau ivre de la santé publique, naviguant sans maître à bord ni objectifs clairs sur un océan de corruption et d'inefficacité. Un constat désastreux pour une agence spécialisée des Nations Unies sur qui portaient tous les espoirs pour une meilleure santé des peuples du monde.
S'appuyant sur les résultats d'une longue enquête, deux auteurs français portent un diagnostic sévère sur cette Organisation Internationale. Ils prônent sa privatisation et sa mise en concurrence avec d'autres institutions privées aux buts identiques.
Deux ans d'investigation à Paris, Genève, New York et Washington, des témoignages, la consultation de rapports officiels, de documents confidentiels, ont été nécessaires à l'élaboration de cette vaste enquête critique, la première du genre, consacrée à l'Organisation Mondiale de la Santé.
L'OMS, océan de corruption et d'inefficacité
21 décembre 2009 - Sylvie Simon
L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) fait la pluie et le beau
temps sur notre planète en matière de santé publique et la plupart des
gouvernements se réfèrent à ses nombreuses recommandations.
Or, il y a quelques années, Bertrand Deveaud, journaliste, et Bertrand
Lemennicier, professeur agrégé d’économie, ont enquêté à travers le
monde sur cet organisme et ont consulté de nombreux rapports officiels
et confidentiels pendant deux ans.
Ils en ont conclu que l’OMS ne serait plus que le bateau ivre de la santé publique et naviguerait “sans maître à bord ni objectifs clairs sur un océan de corruption et d’inefficacité” (cf. L’OMS : Bateau ivre de la santé publique, Ed L’Harmattan). Une série d’articles publiés à la même époque dans The British Medical Journal et dans The Lancet décrivaient l’organisation Mondiale de la Santé comme une institution corrompue et à bout de souffle.
H1N1: pourquoi c'est tombé sur les mexicains ?
Reportage diffusé le 2 décembre 2009 sur la TSR
Voir l'émission - Pour un accès direct, cliquer sur la 2ème vidéo à droite de la page
L'OMS accusée d'avoir exagéré l'ampleur de la grippe A
Reportage diffusé le 17 février 2010 dans le journal de 20 H de TF1
Moins d'un an après l'apparition du virus H1N1, l'OMS est aujourd'hui sur la sellette. L'Organisation mondiale de la santé a-t-elle déclaré hâtivement le plan de lutte contre une pandémie ?
Grippe H1N1 : la grande tromperie ?
Reportage diffusé le 17 février 2010 sur la RTBF
Et si un jour il en allait de même avec un nouveau virus de la grippe ? Un virus dévastateur qui se propagerait à la vitesse de l'éclair... Il y a fort à parier que bon nombre d'entre nous verraient à cette annonce la répétition de l'alerte mondiale lancée pour la fameuse grippe H1N1 qui ne s'est, heureusement, pas révélée aussi dangereuse qu'annoncée. Au risque de ne pas prendre demain au sérieux un éventuel danger bien plus réel.
Ce que montre l'enquête présentée ce mercredi soir par Pascale Bollekens et Michel Renard, c'est qu'il y a de quoi s'interroger sérieusement sur le bien fondé de l'alerte lancée par l'OMS (organisation mondiale de la santé). Une alerte de niveau 6, c'est-à-dire maximale, du jamais vu depuis que l'OMS existe. Et quand on sait que pour prendre une telle décision, elle s'est appuyée sur des experts qui travaillent aussi pour des firmes pharmaceutiques le soupçon grandit...à la mesure des impressionnants chiffres d'affaires réalisés par ces firmes qui ont vendus leurs vaccins aux gouvernements du monde entier, affolés par la perspective d'une pandémie meurtrière...
Voir l'émission (cliquer sur l'icône Question à la une)
Grippe A : la pandémie de la peur
Emission diffusée le 31 mars 2010 sur France 3
Pendant huit mois, le virus H1N1 a effrayé toute la planète. Présenté comme très dangereux et particulièrement mortel pour les jeunes, il s’apprêtait à décimer une partie de l’humanité. Pour s’en protéger, la France a dépensé près de 2 milliards d’euros. Mais, finalement, la grippe A n’a pas fait plus de victimes que la grippe saisonnière.
Avons-nous été manipulés, et par qui ? « Pièces à conviction » a enquêté dans les coulisses de la pandémie.
Il y a un an, la planète a eu peur.
Venue du Mexique, celle que l’on appelait au début "la grippe
porcine" allait déferler sur l’espèce humaine, tuant
notamment des jeunes en bonne santé ou des femmes enceintes.
Les
informations étaient inquiétantes, les explications confuses. Sur
les plateaux de télévision, les experts se bousculaient alors pour
nous raconter le drame à venir, et les journaux de l’époque ne
parlaient que de l’horreur future.
Pour ne pas mourir, il
fallait absolument se laver les mains plusieurs fois par jour,
éternuer dans sa manche et, surtout, se faire inoculer le nouveau
vaccin trouvé, testé, approuvé et mis sur le marché quasi
simultanément par les plus grands laboratoires pharmaceutiques…
Des experts de la grippe A sous l’influence des laboratoires
26 janvier 2010 - Le Parisien
Plusieurs chercheurs et médecins de l’OMS sont rémunérés par des firmes pharmaceutiques. Le numéro deux de l’organisation doit s’en expliquer aujourd’hui devant le Conseil de l’Europe.
Ce matin, le numéro deux de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le docteur Keiji Fukuda, est auditionné à Strasbourg par la commission santé du Conseil de l’Europe. Les parlementaires européens veulent savoir si l’institution onusienne a subi des pressions de la part de l’industrie pharmaceutique dans sa gestion de la crise de la grippe A pour en exagérer la dangerosité.
« Si l’un d’eux nous a menti, il sera sanctionné »
26 janvier 2010 - Le Parisien
Le numéro deux de l’Organisation mondiale de la Santé est auditionné, ce matin, par le Conseil de l’Europe sur l’influence supposée des laboratoires pharmaceutiques dans les décisions prises par l’OMS au sujet de la grippe A.
Grippe : sénateurs PCF et PG veulent une commission d'enquête sur le rôle des labos
27 janvier 2010 - Le Parisien
Les sénateurs communistes et du parti
de gauche (CRC-SPG) ont présenté mercredi leur proposition de
résolution visant à créer une commission d'enquête sur "le
rôle des laboratoires pharmaceutiques dans la gestion de la pandémie
de grippe H1N1".
"Il faut lever le voile sur la gestion
d'une pandémie fantasmée", a déclaré Guy Fischer (PCF) lors
d'une conférence de presse.
"Je déplore que le
gouvernement, au nom du principe de précaution, a arrêté ce
programme démentiel de vaccination et, foulant au pied ce principe
de précaution, a mis sur le marché des substances dont l'innocuité
n'est pas prouvée", a ajouté François Autain (Parti de
gauche).
Grippe A : Margaret Chan et ses conseillers très spéciaux
26 janvier 2010 - Le Parisien
Différents groupes d’experts
conseillent la directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, quant
aux décisions relatives à la grippe A. Or plusieurs de ces
scientifiques ont des liens financiers avec des laboratoires
pharmaceutiques.
Le comité du Sage. Il s’agit du principal
groupe consultatif de l’OMS pour la vaccination.
Il est composé de quinze scientifiques
internationaux, qui ne rendent compte qu’à Margaret Chan. C’est
à la suite des recommandations du Sage qu’elle a annoncé, le 1er
juin dernier, le passage en phase 6 de la pandémie. Une décision
qui a poussé les gouvernements à acheter massivement des vaccins à
titre préventif.
Trois membres de ce comité sont rémunérés
par des laboratoires pharmaceutiques, en plus de leur travail de
chercheur : le Finlandais Juhani Eskola, le Jamaïquain Peter
Figueroa et le Chinois Malik Peiris. « Dans un comité aussi
stratégique, on aurait pu attendre de l’OMS qu’elle prenne
davantage de précaution pour éviter les conflits d’intérêts »,
indique le chercheur français Yves Charpak, ancien de l’institution
genevoise.